Qui suis-je ?
Je suis Arnaud Le Louette, j’ai 53 ans.
Je suis coach professionnel en entreprise (RNCP Niv1) et Préparateur Mental (DU Lille).
Je suis entrepreneur. J’ai créé et développé mon activité en janvier 2014, après un parcours de 20 ans en entreprise. J’ai travaillé dans des grands groupes internationaux en alternant des fonctions de Direction Opérationnelle et des fonctions Ressources Humaines.
Je pratique le Triathlon (longue distance), le vélo de route (Tour de France et Tour des Flandres cyclo) et la course à pied (Semi et Marathon).
Je pratique la plongée sous-marine et suis Moniteur Fédéral 1er degré.
Je joue au golf (index 7,6).
PODCAST
Cinq grandes passions jalonnent ma vie (en dehors de ma famille) :
- Le sport
- La transmission
- Le management
- Les sciences humaines (développement personnel, neurosciences, préparation mentale)
- Les voyages nature (plongée sous marine, randonnées, voyages en van)
Elles ont orienté mes choix personnels et mon parcours professionnel.
- Ma PASSION : Faciliter et Favoriser la connaissance de soi par le sport
- Mon MÉTIER : Entraîneur, Coach et Préparateur Mental pour sportifs, dirigeants et managers
- Ma MISSION : Aider à mieux se connaître, développer la CONFIANCE en SOI & L’OSER s’engager
- Ma VOCATION : Accompagner les Sportifs et Dirigeants dans la réalisation de leurs projets et défis, pour optimiser leur PERFORMANCE et LEUR BIEN-ÊTRE !
Ma raison d’être : Aider chacune et chacun à être le CHAMPION de SOI-MÊME, grâce au sport !
Mon slogan : VIVEZ VOTRE VIE DE DIRIGEANT ET DE SPORTIF COMME UN CHAMPION !
C’est l’histoire d’un mec
Le petit Arnaud, un enfant rempli de rêves…
Je suis né en Bretagne, à Rennes. Je suis fier de mes origines.
Le Breton pourrait se résumer de la sorte : « Authentique, fiable, courageux, homme de confiance qui ne la donne pas gratuitement. Ouvert sur le monde, il est curieux et voyageur. Ce n’est pas un grand causant, mais c’est quelqu’un de simple, profond, qui montre peu ses sentiments mais qui sera toujours là pour ses proches en cas de coup dur ! »
Et moi, je suis tout cela !
Quand j’étais petit, je rêvais d’être : sauveteur, secouriste en montagne, nageur de combat au sein du commando Hubert, ou encore entraîneur d’une grande équipe de football professionnelle.
J’aurais peut-être pu devenir joueur de football professionnel. Des recruteurs du stade rennais sont venus voir mes parents. J’étais à l’école primaire, ils m’avaient repéré dans les tournois interécoles, et le fils de l’un d’entre eux était un copain.
Mes parents ont refusé. J’ai arrêté le football et ils m’ont mis au tennis. Un hasard ? Sans doute pas, ma mère avait vécu la même aventure avec ses parents quand elle était petite !
Constellation familiale, quand tu nous tiens !
J’ai joué au tennis longtemps, sans être ni un bon, ni un mauvais joueur.
Je cherchais plutôt le beau jeu et prônais l’offensive. Mon idole s’appelait John Mac Enroe.
Puisque je parle de mes idoles, une autre figure m’est remontée dernièrement : Bernard Hinault, le blaireau !
Je crois pouvoir dire sans aucune prétention que je faisais partie des « meneurs ». J’étais souvent capitaine d’équipe.
Un adolescent devenu adulte trop tôt
Mon adolescence a été marquée par le divorce de mes parents. Un épisode qui se révelera bien plus tard comme très douloureux (c.f. travail thérapeutique). Dans les années 90, le consentement mutuel n’existait pas. Mes parents se sont englués dans un divorce pour « faute » qui laissera des traces.
Je trouve alors mon équilibre dans le sport, et en particulier le volley-ball que je pratique en club et au lycée. C’est ma deuxième famille. Je vis avec le lycée les deux phases finales du Championnat de France avec un titre de Champion de France et un titre de Vice-Champion de France.
Avec le recul, ces épopées collectives m’ont apporté cette estime de soi dont j’avais tant besoin. J’étais un honnête joueur au niveau régional. Je m’investis au sein de mon club dans les équipes jeunes et enfants. J’entraîne les minimes à l’école de volley et coache les cadets !
La naissance d’une vocation !
À l’école, j’étais un élève besogneux, à la fois sérieux et peu enthousiasmé par ses études. J’essayais « tant bien que mal » de passer dans les classes supérieures et d’obtenir mon BAC B (Économie, à défaut d’avoir pu accrocher Scientifique).
Ma motivation secondaire : « Éviter de créer des soucis à Maman. »
Ma motivation primaire profonde : « Faire du sport ! »
D’ailleurs, je suis dans une section avec option sport en vue d’être prof de sport ! Un genou aura raison de moi… Je passe le concours sur une jambe, Adieu Professorat de Gym !
Bon en langues, plutôt communicant, ma mère qui me connaît bien m’oriente vers les études commerciales. Et puis, mes grands-parents sont entrepreneurs, peut-être une fibre ? Sans doute plus « socialement correct » pour ma mère vis-à-vis de ses parents et de ses sœurs ? (Affaire à suivre).
– BTC Commerce International
– École de Commerce avec spécialisation ACHAT
Je m’éclate. Je rate d’un point mon BTS (alors que j’étais dans les trois meilleurs élèves de la promo… ). J’ai une pression de dingue vis-à-vis de ma mère.
La directrice de mon école de commerce passe un deal avec moi : « OK Arnaud, je te prends en intégration parallèle dès la deuxième année, à la condition que tu repasses ton BTS en candidat libre ! » Je n’oublierai jamais cette femme, Nicole SIMON qui a su me tendre la main et me faire confiance.
Pari tenu, j’obtiens mon diplôme.
Durant cette période, je continue le sport. Je me suis tourné vers le golf, que j’ai pratiqué pendant 20 ans en compétition. Il n’y avait pas de joueur dans ma famille. Mais je me souviens que tout petit, quand même, j’étais fasciné par ce sport et son esthétisme.
« Trop cher ! », m’avaient répondu mes parents.
Je suis descendu jusqu’à 7 de handicap.
Mais revenons à la fin de mon parcours étudiant. C’est décidé, je vais faire du commerce et un jour je serai chef d’entreprise. L’idée de reprendre l’affaire familiale m’a traversé l’esprit, mais mes grands-parents ont cessé l’activité alors que j’étais encore étudiant.
Mon dernier stage sera stratégique. « Le stage Tremplin », celui qui permet de décrocher un job pour éviter le chômage. D’autant que je suis exempté de service militaire ( mes problèmes de genou m’auront au moins servi à quelque chose ! )
Le sport, l’international, des perspectives de carrière, du commerce, de l’action = Décathlon !
Je rentre chez Décathlon en mars 1994. Je n’en sortirai que 16 ans plus tard !!!
En 1998, je suis alors Directeur de magasin, je retrouve le Directeur de mon école de Commerce, dans le cadre de l’intégration dans un réseau professionnel. Au moment de mon intronisation, celui-ci lit mon dossier d’inscription datant de 1992 : « Je souhaite intégrer une grande entreprise ou travailler pour une grande marque, type Head ou Adidas… »
Aujourd’hui je peux dire que toute ma vie, je n’ai fait que me projeter dans le futur pour réaliser mes ambitions. Aujourd’hui, mes ambitions ressemblent plus à des rêves.
Adulte, le parcours d’un homme cabossé, vivant, heureux, qui regarde devant lui !
À partir de cet instant, c’est en adulte que je prends la parole.
Des années fastes, j’ai le vent en poupe
J’ai très vite obtenu des performances économiques et humaines. J’ai réussi dans des contextes humains tendus. J’étais reconnu pour recruter des équipes fortes et libérer de nombreux collaborateurs potentiels pour l’entreprise.
J’ai adoré ce métier de « patron opérationnel », grâce à de très bons patrons qui m’ont formé et transmis leurs compétences, leur expérience, et surtout l’envie de faire ce métier.
Un magnifique cadeau – Je découvre mon talent
Forts de mes succès, mon Directeur Régional m’a fait un magnifique cadeau :
« Je te propose de devenir Responsable Ressources Humaines de la région. Ta valeur ajoutée, c’est l’humain ! Recruter des collaborateurs avec du potentiel, faire grandir les équipes et les fédérer autour d’un projet collectif. C’est ça ton talent ! »
Je fais ce métier pendant 3 années géniales !
« Je suis comme un consultant interne. Un jour j’en ferai mon job !!! »
Je retiens l’importance de l’énergie positive et de l’impact que peut avoir le management sur la motivation. J’ai à peine 30 ans, j’ai la baraka. J’ai la chance d’avoir des responsabilités fantastiques. « Je vis un rêve. »
Des années difficiles, quand c’est le bordel, tout arrive en même temps !
Je deviens Directeur Régional, c’est un aboutissement professionnel.
Je vis des années de très hautes performances et mes équipes me suivent.
Malheureusement, mon couple se fissure et je vis au même moment un contexte professionnel plus difficile.
Puis, c’est la séparation.
Je me retrouve loin et séparé de mes enfants. Je serre les dents, mais, la perte de confiance s’installe doucement.
Je ne suis pas épaulé par mon manager, et je tombe dans le travers de m’isoler : « Je vais m’en sortir seul, il faut que je prouve aux autres ce dont je suis capable ! »
Des grosses décisions de vie à prendre
Mes enfants me manquent, et les rejoindre signifie quitter ma boîte. Je choisis de dire stop pour sauver mon essentiel.
De ces deux dernières années difficiles, je garde l’enjeu de l’accompagnement et de la relation de confiance qu’il doit y avoir entre un manager et son collaborateur.
Je prends conscience également des croyances dans lesquelles un individu peur s’enfermer. Je suis convaincu d’une chose, savoir où l’on va et pourquoi, aide à décider, surtout dans l’inconnu.
Je quitte mon job.
Une opportunité. Les trains passent vite, ils ne passent qu’une seule fois.
Le temps de travailler sur soi en profondeur est venu. J’entame, un coaching d’orientation. Celui-ci révélera mon envie de développer ma propre activité ou de vivre une expérience de DRH.
Dans ce métier de DRH, je me rends vite compte que je suis confronté à deux postures :
– Être le bras armé de la direction;
– Accompagner les managers sur le terrain.
Une révélation. Je trouve un sens à donner à ma quête.
C’est vers les managers que je souhaite tourner mon action, tout en servant les entreprises.
Je décide de développer mon activité d’entrepreneur et de vivre mes responsabilités pour avoir un impact fort auprès des gens. Une fuite ? Non, une évidence !
J’ai connu de très bons et de très mauvais patrons. J’ai connu des succès et aussi des échecs. La vie personnelle influe sur le professionnel. Nous possédons tous une fabuleuse capacité de rebond à condition d’être éclairé au bon moment pour bien décider.
C’est parce que je suis passé par là, que je vais vous aider à prendre du plaisir dans ce métier, à donner du plaisir à vos équipes pour construire de la performance tout en étant des hommes et des femmes épanouis et heureux dans la vie.
Comme un sportif de haut niveau, un manager va répéter toute sa vie les mêmes gestes, mais en s’adaptant en permanence à un contexte qui change.
Sans les bonnes méthodes, sans du monde autour de soi, sans l’attitude, et si l’on n’est pas bien dans sa tête ou son corps, cela ne peut pas fonctionner !
En conclusion, qu’est-ce que cela dit de moi ?
Quand je me retourne sur cette tranche de vie, je vois qu’il m’a fallu du temps pour trouver « mon chemin ». Ce temps était nécessaire. Cette histoire de vie est en fait une force. Qu’il s’agisse des bons moments ou des plus difficiles. Je n’ai jamais vécu ces étapes douloureuses comme des échecs. Au fond de moi je me suis toujours dit : « J’en ferai quelque chose. »
Ce que ce récit de vie révèle de moi ? Je suis un homme, simple, authentique qui s’engage dans une action, celle en laquelle il croit.
Ce que je fais de cette histoire de vie ? J’ai l’envie à mon tour d’accompagner ces hommes et femmes d’entreprises, cabossés parfois par la vie, comme je l’ai été. J’ai envie d’être leur coach.
Je passe mon diplôme, niveau RNCP 1 et sors major de ma promotion. Une satisfaction mais que je cache longtemps par excès de pudeur. Le signe d’une estime de soi basse.
Je m’éclate dans ce métier de coach que j’assume enfin pleinement. Je me découvre une fibre, et on me reconnaît un talent pour le coaching collectif.
Mais il me manque quelque chose ! Quoi ?
En 2019, l’année avant la pandémie COVID, mon activité tourne à plein régime depuis 3 ans. Mais je sens au fond de moi qu’il me manque quelque chose pour m’épanouir pleinement : le sport !
Remettre le sport au cœur de ma vie !
Que cela soit dans ma pratique professionnelle ou sportive, le développement personnel, la dimension psychologique et mentale sont toujours apparus comme des évidences.
Le point commun entre le métier de manager, de sportif et d’entraîneur, est selon moi : cette capacité à se concentrer, pour produire le bon geste au bon moment, pour générer la performance.
Le lien entre le sport, le management et l’entreprise n’est plus à démontrer. Les meilleurs managers et leaders que j’ai pu voir, ou accompagner, sont bien souvent des sportifs.
Pourtant, beaucoup d’entreprises et de managers sont encore très loin d’avoir eu la chance d’intégrer ou de prendre conscience de la puissance du mental.
Je décide au cours de cette période de pandémie de retourner sur les bancs de la FAC et m’inscris au DU de Préparation Mentale et Psychologique pour sportif, à Lille.
J’obtiens mon diplôme en juin 2021, avec une mention « Très bien » et le titre honorifique de Major de promo, dont je ne suis pas peu fier.
Mon projet consiste à rapprocher le monde du sport et celui de l’entreprise.
Accompagner des dirigeants d’entreprise et des managers, passionnés de sport.
Accompagner des sportifs de haut niveau, qui ont une activité salariée.
Je viens du monde de l’entreprise, je suis un sportif amateur, passionné et je me rends compte que tout au long de ma vie, le sport m’a permis de mieux me connaître !
Voilà, le reste est à vivre !
À bientôt j’espère !
Le commando Hubert est l’un des sept commandos de la Marine nationale Française, considéré comme le plus prestigieux d’entre eux et comme l’unité de forces spéciales la plus sélective et la plus complète de toute l’armée française. Les hommes de commando sont des spécialistes des trois milieux (terre, air et mer), en étant à la fois nageurs de combat et chuteurs opérationels
John Mac Enroe, né le 16 Février 1959 à Wiesbaden (Allemagne), est un joueur de tennis Américain, professionnel de 1977 à 1992. Gaucher, il a dominé le tennis des années 1980 avec Björn Borg, Jimmy Connors et Ivan Lendl. Il a fait partie des joueurs qui ont marqué l’histoire, notamment par sa personnalité et son caractère. Vainqueur à sept reprises en simple dans les tournois du Grand Chelem anglais et américain, il n’a jamais réussi à s’imposer à Rolland Garros.